• C'est l'une de ses innombrables conquêtes qui le dit : «  Au lit, Sylvain est si fougueux et si puissant que si je ferme les yeux, j'ai l'impression, excusez-moi l'expression, de me faire gangbanguer ». Phénomène sexuel, Sylvain Wiltord a été sollicité à plusieurs reprises par des producteurs de porno pour jouer dans des films. L'homme a toujours refusé avançant qu'il était avant tout un footballeur professionnel. Pourtant, lorsqu'on lui parle de ces sollicitations, son visage se crispe comme assailli par les regrets. Car si en tant que footballeur, Sylvain Wiltord est resté Sylvain Wiltord, en tant qu'acteur, il aurait pu devenir le Maradona du porno. Aujourd'hui, pour OH NON ENCORE DU FOOT ! l'homme nous livre l'un de ses plus chaud plan cul dont il a le secret.

     

    J'avais une violente envie de me retaper l'ouvreuse de l'autre fois, mais je me souvenais plus exactement où se trouvait son cinéma. En gaule perpétuelle, j'ai erré difficilement dans la ville pendant au moins une demi-heure (mais c'était peut-être cinq minutes, quand on bande dur comme ça, le temps passe super lentement). Puis, j'ai cru reconnaître l'endroit. J'ai pénétré. La salle était comble. J'ai néanmoins réussi à trouver une place. L'ouvreuse viendrait certainement à la fin du film. Sauf qu'à la place du film, une nana toute en rondeur s'est postée face au public et a commencé à parler de la communauté européenne. Je me serais cassé si ma gaule ne l'avait pas pointé du gland. Bouche à pipe, z' yeux flamboyants, courbes délicieuses, elle valait la culbute. Bref, à la fin de la conférence, je suis allé la voir. J'ai dit : « J'ai adoré votre speech sur la communauté européenne, les échanges économiques tout ça, moi qui suis footballeur j'ai tout compris, c'est dire. Vous savez vous abaisser à la hauteur des sportifs. Bravo » La salle s'était vidée. Elle m'a maté d'abord le haut pour s'arrêter sur mon bas. « Mais vous bandez ! » s'est-elle écriée, le visage écarlate. Si ce n'était pas une invitation à un petit coup vite fait bien fait, ça ? J'ai sorti mon braque qu'elle a alpagué comme le vêtement de ses rêves soldé à cinquante pour cent. Suçage goulu. Quelle dévoreuse ! A un moment elle s'est arrêtée et m'a dit : « Tu peux m'envoyer ton foutre sur la gueule, si tu veux ». « Pas maintenant » j'ai dit. Et je l'ai plaquée contre son pupitre de conférencière, la tronçonnant sauvagement. A chaque coup que je lui filais, elle poussait un gémissement qui était amplifié par le micro du pupitre encore en marche. C'était magnifique. J'avais l'impression que ma bite conférençait sur le cul. Manquait juste un public de moules bien mouillées. « Ouh ! Oh ! » hurlait la nana, les yeux roulant comme des boules de lotos. La pilonnant activement, j'ai dit : « En fait, j'ai rien capté à ton histoire de communauté européenne, je t'ai menti tout à l'heure ». « C'est pas grave, hi, han, mon dieu ! ». « J'peux même te dire que je me suis fait chier grave. Peut-être qu'avec un ballon, ça se passerait mieux ». « Oh oui ! Oui ! Comme ça ! Encore ! En profondeur ! ».  Je l'ai foutue de face, jambes bien écartées et j'ai repris de plus bel. Une vraie sex machine inspirée. La nana haletait, suait, suffoquait, planait au dessus de l'Europe, de l'Asie et même de l'Amérique du sud ! J'avais la bite en flammes ! Retournement de la nénette et éjaculage dans le trou de balle ! Retournement encore et éjaculage sur les jambes ! La nana s'abaisse, éjaculage sur la face ! Pffiiiuu, elle fait. « Retourne-toi » je dis « j'ai pas fini le taff ».


    votre commentaire
  • Dans sa carrière de footballeur, Sylvain Wiltord a marqué de nombreux buts. Mais comparé à ses conquêtes féminines, c'est pipi de chat. A ce jour, l'homme en dénombre plus de 50 000. Et encore, en ne tenant compte que des « coïts normaux ». En effet, le chiffre pourrait facilement être multiplié par deux si l'on y incluait les autres formes de la sexualité. A côté de Sylvain Wiltord, Rocco Sifredi est un puceau malhabile qui découvre les plaisirs de la chair. Pour OH NON ENCORE DU FOOT, l'homme nous relate en direct live ses meilleurs plans culs en toute simplicité.

     

    Allez hop, un doigt en entrée en matière ! La nana s'en mordille la lèvre inférieure. C'est le genre de jolie blonde à gros cul qui joue la pimbêche, style je te vois pas, mais qui mouille dès qu'elle sent une érection mâle dans un rayon de trois kilomètres. Et qui devient incontrôlable dès qu'une teube montre le bout de son gland. Un petit pelotage dans les règles de l'art et elle devient plus chaude que le Vésuve au meilleur de sa pétarade. Poussage dans les chiottes et prémisses du baisage, doigt donc puis broutage de la teuch. Je me masturbe en même temps, préparant popol au pilonnage HD. Léchage du clito, langue dans le vagin puis doigt, la blonde pimbêche s'en est allée dans les conduits d'évacuation. Et ça fait oh, et ça fait ah, et ça fait ouh, putain ce que c'est bon et ça fait encore et ça fait hum et ça fait youplaboum. Et ça brille des yeux. Et ça se tord de plaisir et de jubilation. Et ça réclame ma queue à corps et à cri. Et ça se doigte. Et ça saisit ma bite et ça la serre. Et ça l'avale goulument comme un Michoko géant. Puis, naturellement, le calibre glisse dans le chaudron magique. A l'abordage ! Tous les coups sont permis ! Pas de quartier ! On défonce, on défonce, on défonce ! La nana en pleure ! Elle avait jamais vu le bonheur en face ! Mon dieu, mon dieu, mon dieu ! Elle en croit pas sa chatte ! J'arrête pas ! Je pilonne à l'aveugle ! J'nique en vrac ! Je donne comme quatre ! The machine ! The mec plus ultra ! Pour couvrir les hurlements de la donzelle, je tire la chasse ! Je ralentis ! Puis je repars ! Comme en quarante ! A l'attaque ! Je deviens dix ! Passements de bite et enculade ! On reprend les mêmes et on recommence ! Branlette ! Pelles ! Encore devant ! Puis encore derrière ! Suçage ! Le Toucan vert ! La brouette slave ! Le soleil qui se lève au printemps ! Le tac au tac ! Grattage et retirage ! La nana en voit de toutes les couleurs ! Elle vole ! Je l'accompagne dans les airs ! On fait wou wou wou ! On fait olalala ! J'éjacule sur le rouleau de PQ et lui fous le papier sur sa face.

    Le temps que la nana s'en remette, je vais à l'aut' gogue faire caca. Quand j'en sors, l'autre a retrouvé son faux air de pimbêche. Je demande : « Tu crois que je peux encore y aller ? ». Secouant la tête, elle déchire mon ticket puis me le tend. « A mon avis, c'est mort » me fait-elle. « Mais si tu veux pas attendre la prochaine séance, tu peux toujours regarder le dernier quart d'heure du film ». Je lui pince un téton. « Par hasard » je demande « T'aurais moyen de m'obtenir des pop corn à l'œil ? »


    votre commentaire
  • Avant de commencer sa carrière dans le football, Sylvain Wiltord était déjà un homme à femmes. A cinq ans, il sortait avec toutes les filles de sa classe ainsi que sa maîtresse et la directrice de la maternelle. Comparé à lui, James Bond ressemble à un moine vasectomié. Pour  OH NON ENCORE DU FOOT ! il nous ouvre son cœur sur ses plus beaux plans culs.

    Ce jour là, je me sentais pas trop bien. J'avais le nez qui coulait et des flatulences limite liquides. La grippe A, je pense. Samantha avec qui je viens de niquer m'explique que je me fais des idées et que c'est pas ça les symptômes de la maladie. « Qu'est-ce que tu en sais », je lui réponds « T'es médecin ? ». Et je monte dans ma Porsche, direction la première plaque de toubib repérée. Je pile net au bout de 175 mètres. Près de la boulangerie, officie un docteur, Vanessa Reboul. Je me gare en double file et monte les escaliers quatre à quatre vers la salle d'attente. Et là, méga gaule ! Un canon de 30 printemps tout en cuir moulant patiente sur une chaise avec un hamster. Je la mate de haut --bouche à pipe, décolleté sexy -  en bas - longues jambes fines à talons - puis jette un coup d'œil circulaire. Personne d'autre que nous dans la salle - rematage de la bonasse - elle me reluque, les yeux plein de vices et de feu. Ma méga gaule triple ! « L'est où votre animal ? » me demande t-elle en se caressant la chatte. Je dégaine la chose et lui caresse les nibards avec. Elle m'agrippe les fesses et bouffe mon bide puis mes poils pubiens. Une vraie petite salope en rut et en liberté ! Je vire le hamster, la lève, la défroque puis en saisissant ses jambes, lui fout la tête par terre - « broute la moquette » je dis tandis que je lui titille les lèvres avec le bout de ma queue. La bouche ouverte, elle pousse un gémissement. « Elle est bonne ma queue, hein ! Sale petite vicieuse ! » Je grommèle. « Oh oui ! ». Et c'est parti pour le grand ramonage ! Profondément dedans, un peu sur les côtés, au sud, au nord, à l'est et à l'ouest. Une fois qu'elle est bien pantelante, j'attaque le manège croate puis le parallélogramme sicilien. Les orgasmes se succèdent comme les pièces dégringolantes d'un bandit manchot au moment du jackpot ! - cette fille est une putain de rêve ! Et elle en redemande ! Encore ! Encore ! Encore ! J'enchaîne dans l'inédit en commençant par le cornet de marrons chauds puis la planche à crier et enfin le pilon de Marseille ! Les ongles plantés dans ma chair, la nénette manque d'en claquer de bonheur, d'extase et de volupté. Je jute sur son hamster qui s'en tord à son tour de plaisir. « Tu t'es bien rincé l'œil, spèce de petit enculé » je dis à la bête. « C'est une fille » me fait la chaudasse revenue à elle « Elle s'appelle Heidi ». Je réponds rien. « Dis-moi » reprend-elle « Tu me dis quelque chose... Tu ferais pas du patinage artistique par hasard ? ». Toujours sans répondre, je la regarde se resaper. L'envie de la culbuter à nouveau me rhabite le sexe.

     

    précédent: coup N°1 


    votre commentaire
  • Tout le monde connait le joueur de foot Sylvain Wiltord. On connait beaucoup moins l'homme au tempérament de feu dont les dix mille conquêtes feraient passer Casanova pour un play boy des bacs à sable. En exclusivité pour OH NON ENCORE DU FOOT ! Sylvain a accepté de nous raconter ses plus beaux plans culs avec une modestie et une pudeur touchantes.

    J'étais en train de tâter du ballon quand un pote m'appelle. Je sors mon portable de mon short et décroche - Eh Sylvain, me fait-il, devine avec quoi je t'appelle. « Je sais pas » je réponds « J'hésite entre ta couille gauche et celle de droite ». « Ah ! ah ! ah ! t'es trop con, Sylvain. Non, c'est avec mon nouvel Iphone, ça te dirait de le voir ». A vrai dire, je m'en branle mais j'en ai marre de tâter du ballon et j'ai baisé il y a une heure donc je ne ressens pas encore trop de manque, donc je me dis, bah pourquoi pas, allons voir sa merde, ça va flatter son ego et le rendre heureux et moi, bin, j'aime bien rendre les potes heureux, si l'amitié ne sert pas à ça alors on peut direct la balancer dans le vide ordures. « Ok » je fais en montant dans ma BM.

    Arrivé chez mon pote, j'attrape une gaule de malade. Le type vit avec une méga bombe blonde avec des seins comme ass' et un cul de collection. Dès que nos regards se croisent nous sommes sur la même longueur d'ondes. Je sens qu'elle boufferait de la queue à longueur de journée si elle en avait les moyens. Ma gaule décuple et elle le remarque, s'humectant l'oreille avec la langue. Je rappelle que cette histoire se passait en hiver. La gastro se déchaînait, frappant les petits et les grands sans vergogne, décimant les trous de balle les plus robustes et les plus aguerris. A cet instant, mon pote ne le savait pas encore mais miss Gastro l'avait choisi pour une belle valse défécatoire. S'apprêtant à me montrer fièrement son bidule, il pose soudainement la main sur son ventre et file aux chiottes, gueule en vrac, corps en deux. Des occases comme ça, je pense. On n'en a pas trente-six dans la vie. Direct, je sors ma queue et la plante dans la bouche de la donzelle qui la suce avidement. Pur régal ! Je sors le braque et demande : « Tu t'appelles comment ? ». « Cindy* » elle fait en donnant des coups de langue dans le vide. « Cindy, mets toi à quatre pattes, j'vais te défoncer les orifices comme ils le méritent ». « Oh toi » fait-elle en me mordillant les couilles à travers le short. Là, bruit de chasse tirée. Cindy recouvre ses magnifiques mamelles de son tee-shirt moulant et moi je range mon attirail. Lorsque mon pote revient, tout blanc, j'explique à Cindy mon égalisation à la finale de coupe d'Europe 2000. A l'expression de son visage, je vois qu'elle n'y entrave que dalle. Et pour cause ! Elle veut du dur en elle et moi je veux lui gicler dessus et partout comme un intarissable malpropre ! Encore une fois, le pote tente de me montrer sa connerie mais miss Gastro l'alpague au colon ! Retour à la case chiottes ! Et vlan ! Je trombine la nana sur une chaise ! Et boum ! sur la table ! Et bing ! Par terre ! Dans le cul et dans la teuch ! Dans la bouche et dans l'oreille ! Elle me griffe, je la baise ! Elle en redemande, je la mitraille à la douze-sept ! Je vocifère, elle hurle ! Deux bêtes en rut qui s'entrechoquent en se mordant et se pinçant les chairs ! S'pèce d'enculé ! Petite pute ! Connard ! Salope ! Crabe farci ! Sauce béchamel ! J'explose dans sa bouche. Elle avale goulûment puis se caresse le visage avec mon gland puis le reste de mon outil perforateur. Ouch. Soubresaut de bandaison fière.

    Parait-il mon pote est revenu un quart d'heure plus tard mais j'étais parti. Depuis, je nique Cindy de temps à autre chez moi, dehors ou à l'hôtel, mais même si entre nous deux le panard est vraiment de haut niveau, il n'atteindra plus jamais le top de ce jour d'hiver.

    *Pour préserver l'anonymat des conquêtes de Sylvain Wiltord, les prénoms de ces dernières ont été changées.

     

    suivant: coup N°2

     


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique